Lydia Jardon

Nikolaï Miaskovsky
Sonates pour piano 1, 5, 9

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Première de cordée dans l’Himalaya du piano » (Le Monde – Pierre Gervasoni /2011), la pianiste française Lydia Jardon poursuit l’intégrale des Sonates de Miaskovsky (1, 5, 9) après les Sonates « de la colère intérieure » (2, 3, 4) parues en 2009.
Découvrez la force émotionnelle et mystique de ce compositeur monumental maudit, si peu interprété :

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Sonate n°1 Op.6

1.I – Moderato assai ed espressivo
2.II – Allegro affanato
3.III – Largo espressivo
4.IV – Non allegro
 

Sonate n°5 Op.64 n°1

5.I – Allegreto capriccioso
6.II – Largo espressivo
7.III – Vivo
8.IV – Allegro energico
 

Sonate n°9 Op.84

9.I – Allegro non troppo
10.II – Andante sostenuto
11.III – Molto vivo

Directeur artistique et ingénieur du son : Jean-Marc Laisné.

AR RE-SE 2019-7

Sortie en Mars 2020 !

Composées entre 1910 et 1940, les sonates pour piano de Miaskovsky résonnent comme le journal de bord de ses états d’âme. Chute du Tsarisme, un père officier assassiné par les bolchéviques sur un quai de gare, refus de se conformer aux critères artistiques du Stalinisme, la vie de Nicolaï Miaskovsky fut un véritable enfer.

Enregistrées en 2009 par Lydia Jardon, « première de cordée dans l’Himalaya du piano » (Le Monde 2012), saluées unanimement par la critique les sonates n° 2, 3, 4 : « trilogie de la colère » témoignent musicalement d’une période de l’histoire russe où liberté intérieure était synonyme de survie.

Dans le second opus, l’interprète débute par la gigantesque sonate n°1 : écriture scriabinienne tourmentée, atonale, proche du délire. Une partition mise en miroir avec les sonates n°5 et 9 post romantiques, voire folkloristes. Sans doute parce que le harcèlement politique dont Miaskovsky fut l’objet le poussa vers une musique moins ésotérique, plus proche du peuple. On remarquera dans le troisième mouvement de la sonate n°5 la reprise du thème obsessionnel qui « hante » la sonate n°1.

Dans la perspective de l’intégrale des sonates pour piano de Miaskovsky dont le dernier disque sortira en 2023, Lydia Jardon a choisi de clore ce second cycle par la sonate n°9, quasiment enfantine, dont les accents renvoient à certaines pièces de Kabalevski, ou même aux « Pièces Lyriques pour piano » de Grieg, écrites en 1867.

La presse en parle

mediapart

Mediapart, 28 Mars 2020, Frédérick Casadesus
A la lumière de Lydia Jardon
« Préférer les chemins de traverse aux autoroutes musicales, tel est l’honneur de Lydia Jardon pianiste bardée de prix qui, depuis presque vingt ans, promeut, grâce à son label Ar-Ré-Sé, des compositeurs oubliés ou simplement méconnus. […] »

onmag

OnMAG, 6 avril 2020, Jean-Pierre Robert
CD : Lydia Jardon joue les sonates de Miaskovsky
«  Le mérite de ce disque est de mettre l’accent sur un domaine méconnu de la production du compositeur russe Nicolai Miaskovsky, contemporain de Prokofiev et de Chostakovitch : son œuvre pour piano. Les trois des neuf sonates que joue Lydia Jardon montrent une écriture pianistique foisonnante qu’elle révèle avec brio. […]  »

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Pizzicato

Pizzicato, 8 avril 2020 / Hervorragende Myaskovsky-Interpretationen
«  Nikolai Myaskovsky (1881-1950) is probably best known for his symphonies (and this through the recordings of Yevgeny Svetlanov). For the less known piano sonatas Lydia Jardon is an artistically extremely valuable advocate. After a first CD with the Sonatas 2, 3 and 4 (released in 2009), she now plays the Sonatas 1, 5 and 9. […]  »

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crescendo

Un deuxième volume de sonates pour piano de Miaskovsky par Lydia Jardon

«  Lydia Jardon a bien compris le message qui se lit entre les notes d’une musique attirante, mais qui demande, un peu à la manière de Scriabine, une audition renouvelée et attentive. La pianiste en traduit toutes les nuances et toutes les inflexions mélodiques avec un sens aigu de l’équilibre et de la clarté, sans négliger les caractéristiques d’un art en fin de compte personnel, malgré les influences esthétiques qui pointent l’oreille de temps à autre. Lydia Jardon maîtrise aussi l’émotion, qu’elle distille avec cette gravité qui transparaît tout particulièrement dans la Sonate n° 9, au milieu des souvenirs amers qui affleurent. […]  »

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Thierry Vagne

Thierry Vagne, 17 avril 2020 / Lydia Jardon joue Nicolaï Miaskovsky

«  C’est une musique à la fois exigeante et assez captivante, très construite, jamais bavarde ; Lydia Jardon en restitue superbement et l’architecture et les élans. […]  »

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Le Monde

Le Monde, 17 avril 2020, Pierre Gervasoni

Sélection albums : Nikolai Miaskovsky, Mapache, S.Pri Noir, Aynur…

«  A écouter cette semaine : des sonates pour piano par Lydia Jardon, un duo guitares-voix venu de Los Angeles, une valeur sûre du rap français, une chanteuse kurde bouleversante… […]  »

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France Musique

France Musique, 22 avril 2020

Musique matin à la maison avec Verdi, Brel, Lydia Jardon et Arnaud Merlin

«  Musique Matin est de retour tous les jours de 8h à 9h, pour une heure de Matinale produite à la maison avec différentes chroniques, une interview avec un musicien, des nouveautés discographiques, un focus sur les spectacles disponibles en ligne et toute l’actualité de la vie musicale. […]  »

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Le compositeur russe Nicolaï Miaskovsky, contemporain de Prokofiev et de Chostakovitch, n’a évidemment pas la renommée de ces derniers. Les sonates 1, 5 et 9 ont été peu jouées, et encore moins enregistrées. Les connaisseurs sont sans doute plus familiers des symphonies et des sonates pour piano et violoncelle que de l’œuvre pour piano solo, en dépit d’une ressemblance évidente.

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