Florentine Mulsant

Chamber Music

Lyonel Schmit, violon
Henri Demarquette, violoncelle
Fabrice Bourlet, piano
Véronique Bourlet, violoncelle

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Détails produit

Sonate de Concert pour violon op. 19
Corail, Dédale et Passacaille sur le nom de Bach

Lyonel Schmit, violon

1.1er mouvement : Corail
2.2e mouvement : Dédale
3.3e mouvement : Passacaille

Sonate pour piano et violon en un mouvement op. 21
Lyonel Schmit, violon et
Fabrice Bourlet, piano

4.Sonate pour piano et violon en un mouvement op. 21

Trio pour piano, violon, violoncelle en 3 mouvements op. 23

Lyonel Schmit, violon,
Fabrice Bourlet, piano et Véronique Bourlet, violoncelle
5.1er mouvement
6.2e mouvement
7.3e mouvement

Sonate pour violoncelle en 3 mouvements op. 27
Henri Demarquette, violoncelle
8.1er mouvement : Très expressif
9.2e mouvement : Vif, mordant
10.3e mouvement : Tiento

Durée totale de l’enregistrement : 77’18
Direction artistique : Frédéric Briant, Musica Numeris
Ingénieur du son : Frédéric Briant
Montage : Frédéric Briant and Lyonel Schmit
Enregistrement des trois premières oeuvres du disque : Chapelle des Carmes, Vannes, France, juillet 2004.
Enregistrement de la « Sonate pour violoncelle » :
Studio Right Place, Bruxelles, Belgique, 18 février 2006.
Livret : Michel Rigoni.
Florentine Mulsant remercie La Fondation Hippocrène et son Président M. Jean Guyot (1922-2006), Éric Tanguy, Paul Gagnaire, André Furno.
AR RE-SE 2007-0

 

La presse en parle

ouestfrance

« Après avoir participé à un disque de Musique française au féminin (Triton), Florentine Mulsant signe, seule cette fois, un disque de musique de chambre : Sonate de concert pour violon op. 19,Sonate pour violon et piano op. 21, Trio pour piano, violon et violoncelle op. 23 et Sonate pour violoncelle op. 27. Autant commencer par le plus difficile. Dans cet exercice exigeant, cette compositrice à découvrir fait apprécier la rigueur de sa construction, l’intensité de son écriture et son goût des timbres raffinés. Voilà un esprit acéré, par moments fulgurant ! À l’écoute, ce disque s’empare de l’auditeur et ne le lâche pas. Il n’y a pas une note de trop dans l’écriture de Florentine Mulsant. Ses œuvres sont superbement servies par Lyonel Schmit (violon), Henri Demarquette (violoncelle), Fabrice Bourlet (piano) et Véronique Bourlet (violoncelle) . »

Ouest-France, 7 mai 2007, Gérard Pernon

res

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« Autant d’œuvres, autant de facettes différentes de la créativité de Florentine Mulsant sont affichées dans ce CD monographique. La Sonate de concert pour violon est d’un expressionnisme porté à son paroxysme, œuvre de tourments intérieurs âprement (le terme est juste) jouée par Lyonel Schmit, qui volontairement cherche les sons les plus rauques de son instrument. L’écriture se fait plus lyrique, avec une pointe de néoclassicisme dans la Sonate pour violon et piano, faite de courts motifs mélodico-rythmiques qui se cherchent sans jamais vraiment se trouver. L’esprit dramatique, voire déchirant, se retrouve dans l’ascétique cadence centrale, précédent un finale ou alternent moments lents et agités, admirablement retranscrits par le duo Schmit / Bourlet. Cette même atmosphère réapparaît dans le Trio pour piano, violon et violoncelle, avec le même principe de phrases courtes, très lyriques, entrecoupées d’accords dissonants et de contrecoups rythmiques. Des passages éthérés succèdent à de violents épisodes, sans réelle continuité si ce n’est un travail motivique récurrent. L’écriture, pourtant très personnelle, n’est pas sans rappeler Olivier Greif (sa Sonate de Guerre surtout). Œuvre plus récente, la Sonate pour violoncelle gagne en homogénéité du discours sans perdre en intensité émotionnelle. Elle a évidemment en la personne d’Henri Demarquette un remarquable défenseur, qui sait varier ses sonorités en fonction des exigences de la partition et ne se limite pas à faire sonner les notes écrites pour habiter cette œuvre. Bien qu’oppressant, inquiet et tourmenté, le monde musical de Florentine Mulsant n’est jamais négatif ou pessimiste. Par ce CD de nouveaux horizons se découvrent. »

ResMusica.com, 4 avril 2007, Maxime Kaprielian

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