Album de l'artiste
Norah Amsellem
Née à Paris, Norah Amsellem est lauréate de plusieurs concours internationaux et participe au « Young Artist Development Program » du Metropolitan Opera de New York.
En 1997, elle fait ses débuts à l’Opéra de Paris Bastille dans Micaëla dans Carmen, avant de chanter ce rôle au Metropolitan Opera pour l’ouverture de la saison 1997-98, aux côtés de Placido Domingo, sous la direction de James Levine et au Japon en juin 2000.
Elle est très vite invitée par d’autres scènes de tout premier plan comme l’Opéra de San Francisco et le Mai Musical Florentin (Liù, Turandot), le Festival de Glyndebourne (La Comtesse, Le Nozze di Figaro), la Scala de Milan pour ses débuts avec Riccardo Muti dans Armide et reçoit les éloges de la presse internationale.
Norah Amsellem a fait également des débuts très remarqués dans Don Pasquale (Norina) et dans Roméo et Juliette (Juliette) à l’Opéra de Bordeaux, dans Rigoletto (Gilda) à l’Opéra d’Avignon et dans le rôle-titre de Manon à l’Opéra de Liège.
On l’a entendue dans Carmen au Metropolitan Opera et dans Rigoletto au Capitole de Toulouse.
Norah Amsellem a interprété le rôle de Liù dans Turandot en tournée au Japon sous la direction de Zubin Mehta, ainsi qu’à La Scala de Milan sous la direction de Giuseppe Sinopoli. Elle a remporté un très grand succès dans Rigoletto aux Chorégies d’Orange et a chanté la saison dernière sa première Adina dans Elisir d’Amore à l’Opéra d’Amsterdam aux côtés de Bryn Terfel, ainsi que Turandot et Manon au Teatro San Carlo de Naples.
Au cours de la saison 2002-2003, elle s’est produite dans Roméo et Juliette à l’Opéra de Nice et au Staatsoper de Vienne, Turandot à l’Opéra de San Fransisco et au Metropolitan Opera de New York, La Bohème à l’Opéra de Lausanne.
Elle vient de chanter avec succès Traviata au Teatro Real de Madrid.
Ses principaux engagements à venir comprennent Traviata au Deutsche Oper de Berlin, à l’Opéra de San Francisco et au Staatsoper de Vienne, Turandot à Gênes et Covent Garden, Manon à Las Palmas, La Bohèmeà Saito Kinen sous la direction de Seiji Ozawa ainsi qu’à Naples, Carmenaux Chorégies d’Orange, dans une mise en scène de Jérôme Savary qui sera reprise en tournée avec l’orchestre Philharmonique de Radio France à Tokyo, Rigoletto à Seattle, Carmen à la Santa Cecilia, I Pagliaci à Amsterdam, Faust au Grand Théâtre de Bordeaux.
Norah Amsellem est également apparue dans de nombreux récitals et concerts à New York (premier récital à l’Alice Tully Hall en 1995 puis au Carnegie Hall en janvier 2000),
San Francisco, Paris (Théâtre du Châtelet, Théâtre des Champs Elysées avec l’orchestre National de France dans L’Enfant prodigue de Debussy, Salle Gaveau et au Champs de Mars avec Seiji Ozawa dans la 9e Symphonie de Beethoven), Aix-en-Provence, Bordeaux, Lyon (4e Symphonie de Mahler), Montpellier (Les Illuminations de Britten avec l’orchestre Philharmonique), Auvers-sur-Oise (Requiem de Mozart), Gênes (Gloria de Poulenc), Florence (Requiem de Fauré) sous la direction de Georges Prêtre (projet repris en octobre 2000 au Musikverein de Vienne), Cleveland, Washington.
On citera pour la saison 2002-2003: la 4e de Mahler avec l’Orchestre national d’Ile de France au Théâtre Mogador à Paris, des concerts avec l’orchestre de la Suisse Romande à Genève sous la direction de Pinchas Steinberg, avec l’Orchestre philharmonique de Nice sous la direction de Marco Guidarini. Elle a interprété Le Rêve d’Alfred Bruneau avec l’Orchestre national de France. On l’a également entendue en récital à l’Opéra National du Rhin.
Ses projets de concerts comprennent : le Gloria de Poulenc avec l’Orchestre de la Santa Cecilia, le Stabat Mater de Rossini avec l’Orchestre philharmonique de Strasbourg, Golgotha de Franck Martin avec le Musikverein de Vienne.
Norah Amsellem a participé à l’enregistrement discographique EMI des Cantates de Rome Prix de l’Académie Charles Cros et lui a valu les éloges de la presse musicale
Opéra International, décembre 2000 : « Norah Amsellem, pour sa part, domine la partition très exigeante de Myrrha avec une aisance souveraine et un sens musical idéal ».
Diapason, novembre 2000 : « Norah Amsellem, parfaite de timbre et de musicalité ».